Votre compte n'a pas encore été validé. Afin de bénéficier de l'ensemble des services du Télégramme, pensez à valider votre adresse email depuis l'email que nous vous avons envoyé.
Votre compte n'a pas encore été validé. Afin de bénéficier de l'ensemble des services du Télégramme, pensez à valider votre adresse email depuis l'email que nous vous avons envoyé.
Zebra et Bagad Karaez
Zebra, le plus rock des Dj's, oublie ses platines pour devenir un véritable interprète des chansons qu'il a créées, en français, avec le Bagad Karaez. Leur premier album est à l'image de leur emblème, la fusée-menhir. Il décolle en crachant le feu et part à la conquête d'espaces rock encore vierges. Hors des sentiers traditionnels, les bombardes, cornemuses et batteries du Bagad Karaez s'éclatent. Elles sonnent ici comme une section de cuivres, balancent là riffs et gimmicks réjouissants, s'offrent une petite virée du côté du funk, dotant d'un éclat extraordinaire les chansons festives de Zebra. Il en interprète quelques-unes en duo : avec Arno (version bretonnisée du morceau «Vive ma liberté» du Belge), Cali («Le pouvoir des pierres»), et Tom Hogg, pour les deux seuls titres utilisant l'anglais (le pop «The unknown soldier», la ballade aux choeurs lyriques «Gone with the wind»). L'album recèle des diamants taillés pour enflammer les stades, à l'instar de «Celtic suckers». Ou de la reprise de Fatboy Slim, «Right here right now», qui a déjà démontré ses qualités de brûlot à Carhaix, au Festival des Vieilles Charrues 2011.
Vous aimez la Bretagne ? Vous allez adorer l'application du Télégramme. Profitez d'une expérience de
lecture personnalisée et d'un accès rapide à l'actualité de votre commune.