Espionnage industriel. Trois cadres de Renault soupçonnés et mis à pied

Trois cadres du constructeur automobile français font l'objet d'une mise à pied conservatoire. Ils sont soupçonnés d'avoir diffusé des informations concernant le programme de véhicules électriques de l'entreprise.

Photo Claude Prigent
Photo Claude Prigent
Trois mises à pied conservatoires qui résultent d'une affaire couvant depuis plusieurs mois chez le constructeur automobile français. Si Renault se refuse à toutes explications précises, ce sont donc trois cadres haut-placés, pilotant des avant-projets, et notamment le projet de voiture électrique, qui sont concernés. Pas de plainte pour le moment Ces trois employés sont soupçonnés d'avoir diffusé à l'extérieur des informations mettant en cause l'intérêt de l'entreprise. Des informations touchant notamment au véhicule électrique. Ils ont été sommés, lundi, de quitter immédiatement leur bureau dans le cadre de ces mises à pied conservatoire. Aucune plainte n'a, pour le moment, été déposée par le groupe. La mise à pied conservatoire est une mesure qui permet à une entreprise d'écarter un salarié dont le comportement peut porter atteinte à sa bonne marche et qui est prise dans l'attente d'une éventuelle sanction disciplinaire. Pendant la durée de cette mise à pied, le contrat est suspendu, et le salarié n'est pas payé.

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